Thomas Nombret

Chargé de mission Coopérative de Conseil en Mobilités - Toulouse

– Bonjour Thomas ! Pouvez-vous vous présenter en quelques mots?
Je m’appelle Thomas Nombret, j’ai 26 ans, je travaille actuellement dans un cabinet conseil en mobilités (Iter, coopérative de conseil en mobilités, à Toulouse) depuis 2 ans, et j’ai réalisé mon cursus universitaire à l’IUGA.

– Pouvez-vous nous résumer votre parcours à l’IUGA? Pourquoi l’avoir choisi?
J’ai intégré l’IUGA dés la première année de Licence, et j’y suis resté jusqu’à l’obtention de mon master 2 en Ingénierie du Développement territorial et de la Transition en 2020.
J’ai rapidement orienté mon parcours vers l’aménagement du territoire, qui m’a permis de m’intéresser et de creuser la thématique des mobilités.
J’ai intégré l’IUGA car les formations proposées répondaient à mes envies et ambitions : étudier une discipline qui mêle approche scientifique et littéraire, qui me donne des arguments pour mieux comprendre notre société et la questionner et qui propose des débouchés sur des métiers d’avenir qui mettent un point d’orgue sur l’enjeu du changement climatique.

– Quel a été/est votre parcours professionnel?
Je suis réellement entré dans le monde du travail 1 mois après avoir obtenu mon Master 2 Ingénierie du Développement Territorial et de la Transition. J’ai pu intégrer le bureau d’études ITER à Toulouse. Une coopérative d’expertises et de conseil en mobilité.

– Que vous ont apporté vos études à l’IUGA? Qu’en retirez-vous au quotidien?
Une curiosité sur le monde qui nous entoure. Je trouve assez génial de questionner et de comprendre (parfois) les évènements du quotidien.
A titre d’exemple, j’ai réalisé mon mémoire de Master 1 sur les mobilités périurbaines, en pleine crise des gilets jaunes. Une excellente manière de creuser un sujet d’actualité.
D’un point de vue professionnel, mes études à l’IUGA m’ont apporté un savoir faire que je réquisitionne quotidiennement dans mon travail : une connaissance sur des sujets variés liés à l’aménagement du territoire, savoir où chercher l’information, synthétiser et restituer un travail en plénière, une maitrise des outils métiers, …
Les stages ont eu également un rôle particulièrement important. J’ai pu réaliser 3 stages durant mon cursus, dans 3 structures différentes. Ces expériences m’ont vraiment permis d’affiner mes envies et de me préparer au monde professionnel tout en donnant une plus-value à mon CV.

– Quels souvenirs vous ont marqué? Une anecdote? Un enseignant? Un mot « bizarre » que personne ne connait?
Je me rappelle d’un mot en particulier qui m‘a marqué : ‘Palimpseste’. Depuis j’ai pris l’habitude de l’utiliser, même si sa définition exacte reste encore assez floue.

– Quelles sont les évolutions que vous constatez dans votre secteur d’activité depuis que vous avez commencé?
Les territoires, mais aussi les entreprises, se saisissent de plus en plus de l’enjeu des mobilités. Un engouement accéléré par la crise sanitaire, qui a permis à des modes comme le vélo d’intégrer une nouvelle dimension. Un secteur qui est donc en « plein boom ».

– Qu’auriez-vous envie de dire/conseiller aux étudiants actuels?
Un avantage indéniable de ce parcours est sa souplesse. Il laisse la possibilité aux étudiant.e.s de se l’approprier pour le faire correspondre à nos envies. Donc n’hésitez pas à orienter les rendus des cours, les stages, les mémoires vers une thématique qui vous intéresse. Cela donnera une vraie plus-value à votre CV.

merci Thomas pour votre contribution !

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